Ces deux là je leur ai attribué un sens particulier, l’ombre et la lumière, la préoccupation et l’espérance. Réalisés à peu de distance l’un de l’autre, l’espérance en renfort du premier. La cuisson est toujours un moment critique de la vie du modèle. Quand la terre est encore pleine d’eau le portrait semble plus vivant qu’après le séchage. Ce qui rend intéressant le moulage sur terre fraiche par rapport à un moulage sur cuit. Le retrait lors de la cuisson ajoute une autre diminution du volume, qui s’accentue encore dans le bronze. Ces portraits sont fait pour dialoguer ensemble.

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