Catégorie : Figurines

Ma tête est toujours sur mes épaules, ouf, ce n’était qu’un mauvais rêve !

Tutoriel complet pour fabriquer ses toupies en fimo. Voilà des cadeaux amusants, à faire ou à faire réaliser pas des petits doigts, car c’est facile comme tout et je vous assure que ça fonctionne bien, regarder la vidéo de la compétition de toupies sur la table. Bon joujou !

toupie-mauve

Prendre une baguette de bois tendre, comme du balsa qui se taille au taille crayons ce sera mieux que du noyer hyper dur comme ici, et faire une pointe légère à un bout. Faire des trous (au dremel) à la hauteur de la pâte pour l’incruster un peu et ne pas avoir à mettre de colle. Modeler une grosse perle, plus la perle est grosse, plus la toupie est stable et tourne longtemps. Trouer la perle en agrandissant progressivement le trou jusqu’à avoir le bon diamètre. Une fois le bâtonnet dans la perle, il faut presser pour incruster la pâte dans les petits trous de maintient. Puis modeler afin d’obtenir la forme désirée, une simple boule ou une soucoupe volante, j’ai même essayé un carré et ça tourne aussi! Autre façon, enrouler un serpent, en pressant bien au début pour faire adhérer la pâte et l’incruster dans les trous, puis biduler une tarte à la crème, en choisissant des tons différents. Quand cette toupie tourne, les couleurs semblent alignées en rayures régulières, et c’est rigolo.

Une petite bagarre entre différents modèles:

toupie-bagarre

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Pour un anniversaire groupé cet aprèm,
DM portera 5  » globules dent en or » pour ses cop’s de classe qui fêtent leurs 6 ans.

Les cartes d’anniv’ faites « mains » par mon filston bien sûr, c’est pas maman qui fait tout non ! En voilà d’autres pas finis pour un prochain gâteau…

Des fleurs et des paillettes, pour un objet décoratif farfelu.

Une simple tortue, je dirais la grecque, car ce sont celles ci que je rencontre dans le maquis. J’en avais adoptée une l’été de mes dix ans que j’avais nommée « framboise ». Et pour la reconnaître dans mon jardin et ne pas la confondre avec une autre, je lui avais colorié une case au dessus de la tête sur la carapace au marqueur indélébile rouge framboise. Stupide me direz-vous! Comme ça un rapace la voit de loin! Mais non, car dans la terre et sous les branches, le rouge est partit petit à petit.Elle avait voyagé dans une boite à chaussure jusqu’à paris ou elle avait passé un hiver, je la promenais dans le square sans avoir, si je me souviens bien, eu besoin d’aucune laisse …  L’été suivant je l’avais ramenée en Corse et lâchée dans le jardin, elle était repartie dans le maquis sans me dire adieu…

Dessous : la tortue à peine cuite et les saucisses assorties

Celle-ci à rendez-vous sous un sapin la semaine prochaine…

 

Déçue par la qualité du verre à yaourt des deux premières, qui gonfle trop les personnages, voilà la toute nouvelle vilaine dans un verre à eau de vie.
Bien sûr, ce n’est que de l’eau minérale! La gnôle, je ne suis pas bête, je la bois, ou la mets dans les crêpes!!!
Cette méchanceté là fait 3,5 cm pour un verre de 7 cm.
La forme de ce petit verre permet de de laisser la boule sans toit. Mieux éclairée et plus transparente par la finesse des parois du verre, ses couleurs se voient mieux.

Voilà la toute dernière vilaine!
Cette fois ci, prisonnière d’un pot de yaourt renversé, et noyée avec des paillettes!!!
Pour en savoir plus sur cette vilaine, rendez vous dans la fable.

Les paillettes violettes de la première ont teinté l’eau en rose, Beuark! En voilà une autre…. avec de la neige argentée!