Meuh qu’euce thum’veuh?
![vache_fimo](https://www.mienville.com/wp-content/uploads/2012/05/2111_tableau-vache1-600x850.jpg)
Meuh qu’euce thum’veuh?
Celui ci est en ToDoYouClay! et avait déjà été présenté monté sur du cordon avec de l’organza, je l’ai porté un peu comme ça puis ça m’a énervé les chatouilles de l’organza et j’ai tout coupé. C’est comme ça et on n’y peut rien quand ça m’énerve … ça m’énerve! Il est maintenant monté avec du câble des maillons et une bout de cordon de joint mécanique acheté au mètre à la quincaillerie qui entre parfaitement dans les attaches à colliers de 3mm. Il est plus agréable à porter et ce montage me convient mieux.
La Stilla, alors âgée de vingt-cinq ans, était une femme d’une beauté incomparable, avec sa longue chevelure aux teintes dorées, ses yeux noirs et profonds, où s’allumaient des flammes … (…) Elle arriva, cette dramatique scène ou meurt l’héroïne … (…) Toute son âme semblait se distiller à travers ses lèvres …Et, cependant, on eût dit que cette voix, déchirée par instants, allait se briser, cette voix qui ne devait plus se faire entendre ! …( …)
« Mon maitre … venez donc ! » répéta Rotzko. Et Franz allait enfin le suivre, lorsque, sur le terre-plein du bastion, où se dressait le hêtre légendaire, apparut une forme vague … Franz s’arrêta, regardant cette forme, dont le profil s’accentuait peu à peu. C’était une femme, la chevelure dénouée, les mains tendues, enveloppée d’un long vêtement blanc. Mais ce costume, n’était-ce pas celui que portait la Stilla dans cette scène finale d’Orlando, où Franz de Télek l’avait vue pour la dernière fois? Oui! et c’était la Stilla, immobile, les bras dirigés vers le jeune comte, son regard si pénétrant attaché sur lui … « Elle ! … Elle !… » S’écria-t-il. (…) (suite…)
A la recherche de la méduse cachée ….
Maintenant je l’essaye sur des fonds différents. Le coeur est un mélange assez sombre avec des fleurs jaunes dessus et par dessus encore la meduse verte. Le disque est une base de canne spirale orangée et des restes de HM jaune et noir, une tranche de méduse verte et un coquelicot ajouté après. J’aime bien le fond uni vert pailleté de la semaine dernière mais je trouve que les bases multicolores font plus mini tableau, un peu comme pour la bague sur fond de canne multicolore. Pas vous?
Une bague cette fois pour une canne de méduse rousse sur une boule avec les restes de la canne cheveux, je lui avais ajouté des bigoudis roses mais dans la résine on les voit moins, enfin on les voit un peu de profil. Le résultat est assez énorme à porter d’où la « drôle » de méduse rousse dans le titre car ça donne quand même un drôle de bijou. Ce dont je suis sure c’est qu’il vaut mieux avoir un caractère joyeux pour la porter, je ne la voit pas mais alors pas du tout à la main d’une conne! Humour et vanité seront les qualités de son acquéreuse! (suite…)
Entre le masque de Scream et de la guimauve tagada.
Juste poncée et lustrée pour une grosse envie de couleur sur la main! Elle va avec certains pendentifs sur lesquels il y a la même canne visage de médusa à cheveux verts mais je préfère la porter dépareillée ou même toute seule. Pour tout vous dire ça fait un bail que j’ai pris cette photo et depuis lors j’ai complètement usé l’argenté du métal car je ne l’enlève même pas dans l’eau tellement elle ne me quitte plus!
Suite de la série des hiboux de mercredi dernier, en voici un autre cette fois avec un corps légèrement plus figuratif car on voit un bout du ventre entre les ailes. Enfantin et joyeux je trouve … et vous?
J’ai perdu mon décor de téléphone, inclus dans l’achat de l’appareil avec une breloque Swarovski auquel j’avais ajouté une tête de maure, car il était fixé à un mignon petit machin qui se visse … moralité: Ne jamais accrocher son téléphone à un machin qui se visse avant d’aller à cheval au galop dans les champs! J’ai eu de la chance car c’est le décor qui s’est dévissé hors de la poche alors que le téléphone était dedans, si ça avait été le contraire j’aurai retrouvé ce con de machin et perdu le téléphone en pleine campagne! J’admets qu’il faut avoir un grain pour balader un téléphone sachant qu’on va aller à fond entre les vignes … (suite…)